Virgile ANTOINE est né en 1978 à Saint-Quentin (France). Il mène de front sa carrière de professeur et d’illustrateur.

De la fantasy à l’hyperréalisme, l’univers de Virgile se décline toujours autour du dessin. « J’ai commencé à dessiner… depuis l’âge de cinq ans ».
Il s’oriente vraiment vers le neuvième art alors qu’il a environ 11 ans, « quand je suis rentré à l’école Quentin-de-La-Tour ». Pendant près de trois ans, il va tous les samedis après-midi à l’atelier de sculpture, puis il rejoint celui de dessin le mercredi après-midi. « Et après, je suis rentré dans cette école-là à temps complet ».
C’était en 1999. Il part ensuite à Poitiers et intègre l’École Européenne Supérieure de l’Image (E.E.S.I.) de Poitiers (France). « J’ai obtenu un diplôme national artistique ».

Ses lectures de BD préférées… « Ce ne sont pas des BD mais plutôt des auteurs ». Une réponse d’illustrateur : « Quand je vais acheter une BD, c’est d’abord l’auteur que je regarde ». Il cite Alberto VARANDA avec sa 22 millième dimension et Elixirs, Ségur avec Les Légendes des contrées oubliées et Frezzato avec Les Gardiens du Maser. « Je pourrais en citer des tonnes. Ce sont des auteurs extrêmement forts mais qui sortent peu d’albums ».

Il a réalisé en 2010 son premier album « Mortel Carrefour » édité par la sécurité routière de la Somme.

En septembre 2011, Virgile rejoint l’association « La lanterne à BD » située à Saint-Quentin (France). Il a participé au collectif 2012 sur le thème de l’héroïc fantasy.

En collaboration avec la ville de Saint-Quentin (France), Il réalise une mini BD pédagogique s’intitulant « le voleur de couleurs ». Sa sortie officielle fût lors du festival de BD de Saint-Quentin (France).

« Délirium de stylo », illustrations au stylo bille, a été auto édité en juillet 2012.
Mon bébé « Fantasy » a trouvé un éditeur YIL édition (Nous sommes dans un monde imaginaire jadis gouverné par des créatures immensément puissantes nommées les TITANS. Un jour, un mage réussit à les vaincre et parvint à les enfermer. Bien des siècles plus tard, un être maléfique décide de les libérer. Un combat épique s’engage alors entre le bien et le mal pour la détention de la clé qui retient encore prisonniers ces monstres).